Assise sur le bord du canapé, elle croise les jambes lentement, laissant sa petite robe kaki remonter juste assez pour éveiller l’imagination. Le tissu épouse ses courbes, mais elle s’en lasse déjà. D’un geste fluide, elle fait glisser une bretelle… puis l’autre. La robe tombe à ses pieds, sans bruit, comme un secret qu’elle aurait enfin décidé de révéler.

Nue, libre, rayonnante, Neu Ling n’a plus rien à cacher — sauf peut-être ce délicieux frisson qu’elle provoque à chaque regard.