Elle avance doucement, les pieds nus sur le parquet froid, contraste délicieux avec la chaleur diffuse de son pull oversized. Il glisse juste assez bas pour frôler le haut de ses cuisses nues, révélant l’absence volontaire de tout le reste. Chaque mouvement fait danser la maille contre sa peau, douce provocation qui attise le feu dans les regards.

Elle s’étire langoureusement, les bras en l’air, dévoilant un soupçon de peau, juste ce qu’il faut pour éveiller le désir. Elle ne porte que ce qu’il faut… pour mieux faire perdre la tête.

Chaleur sous la laine, quand elle enlève tout, sauf le désir

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